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Lâche ! Toi qui écorche les sons de ton accent qui mortifie, toi qui relègue à l’étrange les mélodies qui te sont étrangères : lâche et laisse se vautrer les effluves sublimes sur la richesse du Vogueur que plus rien n’esquive. Oh toi ! Je t’ai vu chevaucher vaillamment des coulées de sens qui font briller l’envie et nourrissent le poète, je crois même t’avoir vu triompher des marécages citadins et dompter l’inanité du présent sans topo d’éternel. Misérable dompteur ! Lorsque tu t’abreuveras des boissons sèches qui rassasient, tu ne pourras me défier, car j’ai trouvé mon chemin à travers les myriades de possibles qu’arborent fièrement les athées.
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